“Promenade gourmande avec les confréries du Maine et Loire” de Christine TOURNEUX

promenade gourmande avec les confreries

La préface

La préface a été réalisée par Jean-Claude BRIALY.

L’auteur

Les photographies et les textes ont été réalisés par Christine TOURNEUX BERNARD, photographe professionnelle et journaliste, primée au festival international du Scoop et du journalisme d’Angers pour un reportage sur les Ardoisières d’Angers.

Contenu de ce livre

Dimension : 21 x 27 cm, l’ouvrage de 160 pages comprend 10 pages en couleur par confrérie :

  • une page avec la photographie des membres de la confrérie,
  • une page avec les Grands Maîtres depuis la création,
  • une page de texte avec la philosophie et la photo du Grand Maître en tenue dans le lieu historique de la confrérie,
  • une page expliquant les différents « grades » avec leurs fonctions et les décorations s’y rapportant,
  • une double page sur le déroulement du chapitre avec des photos,
  • une double page en image, recettes gastronomiques, chansons ou poèmes de la confrérie.

Création de 16 recettes réalisées par des chefs du Maine et Loire, à base de vins et de produits carnés représentant les différentes confréries.

  • Date de parution 2005
  • Éditeur C. Tourneux
  • ISBN 2951895917

“La Vigne et le Vin cent mots” de Sylvie REBOUL

Lavigne et le vin cent mots

Une dégustation savoureuse et savante du vin

Quatre bonnes raisons de consulter cet ouvrage :

  1. Ce livre s’adresse à tous les amateurs de bon vin qui ont soif de connaissance : de la plantation de la vigne à la dégustation, en passant par les procédés de vinification, il offre un panorama très complet de toutes les activités viti-vinicoles.
  2. Ce livre aborde des notions techniques dans un langage simple et accessible. Ce qui ne l’empêche pas de faire preuve de rigueur scientifique et de faire appel aux dernières connaissances disponibles.
  3. Ce livre s’intéresse aux régions viticoles de France et à leurs nombreuses appellations d’origine contrôlée, mais aussi à l’histoire de la viticulture et de l’œnologie, avec des portraits d’hommes célèbres. Des cartes accompagnent la présentation de chaque région.
  4. Ce livre donne des conseils utiles  : température de service du vin  ; conditions de bonne conservation des bouteilles  ; influence des millésimes et temps de garde. Il prône une consommation éclairée et modérée.

Vous trouverez en fin d’ouvrage un quiz pour tester vos connaissances, seul ou entre amis.

  • Date de parution mars 2011
  • Éditeur Le Polygraphe
  • ISBN 2909051439

“Tout ce que les femmes ont toujours voulu savoir sur le vin sans jamais oser le demander” de Laurie MATHESON

tout ce que les femmes ont toujours voulu savoir sur le vin

Un petit livre amusant.

Devine qui vient dîner ce soir ? Premier repas avec les beaux-parents ; Pour vos copains qui ont une bonne descente ; Pour un amoureux à conquérir ; Pour un amoureux déjà conquis ; Pour vos copines très bavardes ; Pour Noël en famille ; Pour des frimeurs qui croient tout connaître ; Pour vos amis qui n’aiment pas tellement le vin.

Ou encore des tuyaux pour bien acheter le vin ; Comment bien accorder le vin et les mets ? Des questions plus techniques (comment conserver, déguster ou servir le vin) ; Et enfin, un petit voyage pour découvrir le vin en France et dans le Monde.

  • Date de parution août 2007
  • Éditeur Tana
  • ISBN 2845673965

“Choses bues” de Jacques DUPONT

choses buesJacques Dupont, goûteur hors pair, est aussi un formidable conteur comme le prouve son dernier ouvrage Choses bues édité chez Grasset. Avec Victor Hugo, c’était Choses vues, sur le même mode, mi-confession mi-enquête de journaliste, Choses bues, est un grand cru de Jacques Dupont, couronné du prix Livres en vignes.

Auteur de référence dans le monde du vin, Jacques Dupont écrit pour l’hebdomadaire Le Point des textes qui font autorité. Choses bues est à la fois l’autobiographie d’un dégustateur avisé, la traversée riche en anecdotes d’un monde souvent secret, les coulisses d’une économie, et surtout l’exercice d’admiration d’un promeneur dans la France des caves et des vignes. Écrit après un long parcours dans les régions viticoles et de nombreuses années de dégustations assorties de rencontres humaines, ce livre révèle que le vin n’est pas seulement qu’une affaire de goût. C’est aussi beaucoup de subjectivité, un résultat aléatoire de l’histoire et de civilisation, et surtout la rencontre réussie de l’homme et du terroir.

Le livre pose de nombreuses questions. Sait-on que la Romanée Conti tire sa gloire mondiale d’un petit hectare ? Doit-on se fier à l’érudition arrogante des spécialistes ? Faut-il inscrire les vins à la sécurité sociale pour les maladies qu’ils soignent ? Pourquoi un vieux Champagne sent-il le sac à pain ? Qu’est-ce qui distingue vraiment le châtelain bordelais du vigneron bourguignon ? Et pourquoi un américain ne buvant pas de vin a-t-il pu débourser une fortune pour une caisse de Mouton-Rothschild ?

Jacques Dupont dispose d’une sensibilité olfactive étonnante entraînée depuis l’enfance à humer par réflexe. Avec l’invention récente du « nez qui a pris le pas sur la bouche », il souligne que la recherche des arômes est devenue une sorte de signe d’un nouveau mode de consommation des vins. « On n’est pas des gens compliqués, explique-t-il, dans un vin, on cherche une belle odeur, on l’identifie, et nous voilà ravis. » Il aurait pu sous-titrer son livre « Le vin sans peine », tant on apprend en s’amusant. C’est un mélange de rigueur, de passion et d’hédonisme. Avec un nez pour les arômes, et un sourire en coin, parce que le Monsieur Vin du Point en a appris long sur notre espèce à force de lire dans le fond des verres. On comprend, à travers cette humanité, pourquoi la Bible nous recommande de boire du vin, mais avec modération , cela va de soi.

L’ouvrage est parsemé d’anecdotes, de témoignages et de conseils pour boire bien. Il offre un voyage du Médoc à la Bourgogne, du Muscadet au Languedoc, à travers les vignobles de France et les souvenirs d’enfance de l’auteur. Une seule observation à cette lecture, la trop modeste place laissée aux vins de Loire et aux Anjou en particulier.. ». Sachant trouver des grands vins partout où il y a de grands vignerons, Jacques Dupont vient d’écrire un hymne au plaisir de vivre pour apprivoiser le génie que renferme chaque bouteille de vin. C’est en fréquentant les hommes, et aussi les femmes qui sont de plus en plus nombreuses à la tête de grands vignobles, malgré un machisme qui ne recule que depuis peu, que l’auteur a pu écrire ce livre de manière si érudite, mais jamais pédante.

  • Date de parution août 2008
  • Éditeur Grasset
  • ISBN 2246728118

“Un américain dans les vignes” de Robert CABUTO

un americain dans les vignesUn Américain dans les vignes est l’histoire d’une quête personnelle de Robert Cabuto, journaliste américain installé en Provence avec sa famille depuis 2001. L’auteur raconte sa route des vins et se plait à décrire sa rencontre avec des vignerons qui rejettent la standardisation.

Explorateur du vignoble français, correspondant du Washington Post, Robert Camuto raconte avec un humour pinçant ses pérégrinations dans les vignobles de petits producteurs indépendants. Quatre années durant, il est allé chercher des individus qui ont leurs idées, des vignerons de nouvelles générations. Pour ma perception du vin, confie l’auteur, « je cherche les individus, pas les châteaux et leurs grands crus, que s’arrachent les holdings et les compagnies d’assurances ». Le Yankee traque le jamais-vu, le jamais bu. Loin du monde des apparences, il s’intéresse aux coulisses en cherchant à voir où commence la vérité humaine.

La rencontre des terroirs authentiques. Lorsqu’il arrive en France, il voit son goût pour les vins se muer en passion. Il essaime tous les terroirs, enquête, note, photographie, croque des portraits drôles, justes et étonnants. Mais surtout il part à la rencontre de vignerons qui font le choix d’un mode de production faisant la part belle à la biodynamie et aux engrais végétaux, ou à l’harmonie des cultures avec le cycle lunaire.
Comme les consommateurs cherchent de plus en plus à manger sainement, l’auteur affirme que le bio, le raisonné et toutes les conduites de vignobles préservant l’environnement ont un réel avenir. Cependant, il estime qu’il faut de tous les vins, et que la France détient, avec la grande diversité de ses terroirs, une richesse viticole inégalable.

L’Anjou
L’Anjou a toute sa place dans le livre de Robert Cabuto. Dans le chapitre « la lune, les étoiles et la Loire » il consacre une large place à l’angevin Nicolas Joly et à son vignoble d’exception à Savennières : « la Coulée de Serrant ». La biodynamie s’associe à la métaphysique et au terroir pour obtenir et expliquer la qualité du très grand vin obtenu. Il confie cependant que la Coulée de Serrant devait déjà produire, avant l’actuel propriétaire, quelque chose proche du miracle.

Le vin aux Etats Unis.
Très cher outre atlantique, le vin demande un palais entraîné. Les jeunes sont faibles consommateurs, mais Robert Cabuto pense qu’un nouveau public américain apprécie de plus en plus les vins de terroirs. Pour l’instant ce marché n’est qu’un marché de niches avec les cavistes qui recherchent autre chose que les vins conseillés par Robert Parker.

L’auteur épicurien vagabond, affirme que « le vin ne doit pas devenir un luxe : il doit continuer à faire partie de la vie », la vraie.

  • Date de parution août 2009
  • Éditeur Michel Lafon
  • ISBN 2749910722

“La dégustation des vins” de Jean-Michel MONNIER

degustation des vinsLe génie d’un vin réside dans la combinaison heureuse de trois facteurs : le terroir, les cépages et le vigneron. Couleur, arômes, structure… font sa richesse et sont l’empreinte de cette rencontre. Une empreinte vivante dont la dégustation s’attache à percer les secrets, l’origine et le devenir.
Sous la forme d’une véritable évasion culturelle conduite par Jean-Michel Monnier, Œnologue angevin, vous découvrirez l’ensemble des crus ligériens de l’estuaire jusqu’à la source. Les photographies de Patrick Joly, son complice de toujours, vous transporteront dans les paysages des bords de Loire à la découverte des richesses du fleuve, de ses vins et des ses hommes.

  • Date de parution octobre 2004
  • Éditeur Siloe
  • ISBN 2842312686

“Boire du vin pour rester en bonne santé” de Michel MONTIGNAC

boire du vinEn 1991, les américains constatent avec stupeur qu’une étude de l’organisation mondiale de la santé (OMS) démontre que le risque cardio-vasculaire est trois fois moindre chez les français que chez eux. Le paradoxe français est né avec une réponse scientifique à cette étude : “les français boivent du vin”.

Le vin, une boisson pas comme les autres. Symbole universel associé au pain il est souvent considéré comme un aliment. Dans la Bible on constate un double langage. On y fait l’apologie du vin boisson sacrée mais on met en garde face au risque d’abus. De tous temps consommé, on en boit 600 litres par personne et par an à Versailles sous l’ancien régime. Au XIXe siècle, Grimod de la Reynière écrit “le vin est le meilleur ami de l’homme… C’est le consolateur de nos chagrins, le compagnon de notre vie et la principale source de nos vraies sensations.” Voltaire déclare qu’un peu de vin pris modérément est un remède pour l’âme et le corps.

Durant la grande guerre, les poilus reçoivent un demi-litre de vin par jour, qui s’ajoute à la ration de gnole. Plus tard dans les années 1930, la gastronomie développe toute une littérature culinaire à base de vin. Cependant, en un siècle la consommation de vin par habitant dans notre pays a été divisée par trois.

Le vin est un aliment. Le vin aliment apporte des glucides, des protides, des oligo-éléments, des sels minéraux et des vitamines, des polyphénols : ce sont eux qui confèrent au vin ses effets de prévention cardio-vasculaire. Parmi les polyphénols on distingue les acides phénoliques, les flavonoïdes, les anthocyanes qui comprennent les tanins et d’autres composants mineurs. En 1931 André Tardieu écrit pour un usage scolaire qu’un litre de vin de 10° correspond comme nourriture à 900g de lait, à 370g de pain ou à 5 œufs.

Le vin donne des forces. Un congrès médical en 1949 préconise pour se porter bien, un litre de vin par jour pour l’ouvrier de force et ½ litre pour l’intellectuel. Le vin ne fait pas grossir. Le pourcentage d’obèses n’est pas supérieur chez les buveurs de vin que chez les non buveurs, si toutefois la consommation ne dépasse pas trois verres par jour.

Le vin est un médicament. Depuis l’Antiquité le vin tient une bonne place dans la médecine. Hippocrate conseille de boire du vin qui combat l’austérité et la tristesse, responsables de la maladie. A Pompéi, Pline l’ancien écrit “le vin est tonique, apéritif, euphorique et il améliore la digestion”. De l’Antiquité à Pasteur la science a toujours vanté les effets bénéfiques du vin sur la santé. En 1930 les docteurs Cuvier et Perrot font reconnaître la vigne comme plante médicinale.

Le LDL-cholestérol baisse avec une consommation quotidienne d’une bouteille de vin mais le taux augmente brusquement avec une surconsommation d’alcool. Le vin contient de l’aspirine (plus de 0,30g par litre). Son action combinée à celle des polyphénols et de l’alcool fait du vin consommé modérément un médicament aussi efficace que l’aspirine.

Pour différentes raisons dont la lutte contre l’alcoolisme, depuis 1975 les derniers vins médicaux ont disparu de la pharmacopée. On trouve cependant dans la littérature des écrits remarquables sur le vin et la santé tels que “Soignez vous par le vin” et “La médecine par le vin” du Dr Maury en 1988 et 1998. En 1986, le Dr Baspeyras écrit “Le vin médecin”. Ces chercheurs démontrent scientifiquement comme plus tard les professeurs Masquelier et Renaud les fondements du paradoxe français.

Le vin ralentit le vieillissement. La science confirme que le vin rouge riche en poly phénols a des effets réels sur la longévité.

En conclusion, le vin est le meilleur des antistress. C’est un élixir social qui permet d’améliorer les rapports humains et de diminuer les risques de dépression.

Mais si les effets de la “vinothérapie” est démontrée, n’oublions pas que le vin contient de l’alcool qui présente de sérieux dangers en cas de consommation excessive. Selon certaines études, la consommation journalière ne devrait pas dépasser l’équivalent d’un gramme d’alcool par kg.

  • Date de parution avril 2000
  • Éditeur J’ai Lu
  • ISBN 2290301558

“Dictionnaire Amoureux du vin” de Bernard PIVOT

dictionnaire amoureux du vinD’accès facile sans termes imbuvables, le dernier ouvrage de Bernard Pivot nous fait partager son amour du vin en laissant une large place aux écrivains. Vivant et charnel, le dictionnaire amoureux du vin délie les langues en toute simplicité et se laisse savourer de pages en pages. L’auteur parle avec légèreté et humour de ses lectures, de ses souvenirs de cave, de table mais aussi de culture de la vigne et de celle de l’esprit.

Ce dictionnaire se déguste avec plaisir pour les passionnés de livres et de vins. Jamais expert pompeux ou raseur malgré une réelle connaissance du sujet, l’auteur sait faire partager en amateur éclairé sa culture du vin avec des citations corsées, mais toujours amusantes… Loin de renier ses origines du Beaujolais, Bernard Pivot évoque son vignoble avec une partialité affichée mais sa curiosité n’oublie pas le tour de France des vins, qu’ils soient de grande notoriété ou de plus faible renommée. L’Anjou trouve sa place dans ce dictionnaire à lire avec bonheur, comme le démontrent les citations suivantes de l’auteur.

“La Loire est balisée de plusieurs métropoles qui s’identifient à leur environnement vinicole : Nantes, Angers, Saumur, Tours. J’apprécie particulièrement les seigneurs moelleux, doux issus de la pourriture … noble. Les grains de chenin blanc exposés au soleil de l’Anjou et aux brumes développées par la confluence du Layon et de la Loire produisent des voluptés qui ont reçu les noms de Quart de Chaume et de Bonnezeaux. Avec les Coteaux du Layon quand les étés sont indiens, on peut aussi ressentir des chocs. Les meilleurs blancs secs de la Loire viennent des terres de René 1er roi de Naples et surtout Duc d’Anjou qui a régné avec raffinement. Aux moelleux du Layon, il pouvait ajouter, encore plus proche de son château, sur la rive droite de la Loire, les secs de Savennières. Nul ne contestera la très ancienne célébrité des deux grands crus exceptionnels de Savennières : La Roche aux Moines et surtout La Coulée de Serrant qui plaisait tant à Curnonsky. N’est-il pas normal que la Loire royaliste ait donné à la France plus de seigneurs blancs que de seigneurs rouges ? Le vin d’Anjou coule d’abondance dans les Trois Mousquetaires et dans 20 ans après d’Alexandre Dumas. C’est le vin français préféré de d’Artagnan.”

  • Date de parution septembre 2006
  • Éditeur Plon
  • ISBN 2259197337