Le 17 octobre dernier, il y avait 23 confréries présentes, toutes hautes en couleurs. L’organisation de la Confrérie de la Sardine était pour moi très bien avec un timing extrêmement bien respecté.
Un défilé nous permettant de traverser les rues commerçantes nous a conduits vers l’église où nous avons eu la bénédiction et orchestré par un ensemble musical nous conduisant ensuite de l’église à la mairie où se sont déroulées les intronisations, beaucoup de touristes ou visiteurs le long de ce défilé et beaucoup de photos ont été prises tout le long de ce parcours.
Je souligne l’intervention de Dominique Pairochon, lors de ce chapitre, qui a su parfaitement bien mettre en avant la complicité ainsi que l’amitié qui rapprochaient ces deux confréries : La Sardine et les Fins Gousiers, au travers du mariage qui a eu lieu en mai dernier.
Nous avons, aux souhaits de notre grand maître, essayé d’être les meilleurs ambassadeurs possible de notre confrérie auprès des autres venues bien évidemment de différentes régions françaises, en leur donnant envie de répondre à nos courriers d’invitation pour nos prochains chapitres ou autres manifestations.
Nous avons chanté “verre en haut…” ce qui, à chaque fois, engendre la bonne humeur et la joie de vivre de l’Anjou.
Le lendemain nous étions “au retour” comme l’on dit chez nous, et nous sommes tous arrivés, nous, les Fins Gousiers au déjeuner et, sans nous concerter nous avions tous nos cordons. Les autres confréries avaient oublié de mettre le leur.